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Une étude révèle que seules 36% des entreprises mondiales se disent prêtes à embaucher davantage de mères de famille. Il y a un an, elles étaient 44%. En France, ce chiffre est encore plus faible et atteint péniblement 25 %. (Actu des 22 et 23/01/11)
- Les préjugés ont la vie dure ! Selon une étude réalisée par Régus* à l'échelle mondiale, les chefs d'entreprise se montrent très frileux à l'idée d'embaucher davantage de mères de famille. Il y a un an, ils étaient 44% à envisager de faire des efforts, ils ne sont plus que 36%.
- En France, alors que 34 % des entreprises envisagent de recruter, elles ne sont que 25% à souhaiter recruter plus de mères de familles.
Les mères de famille moins impliquées dans leur travail ?
- Selon l'étude, les entreprises craignent qu'elles soient moins impliquées et moins flexibles que les autres employés (41% des entreprises en France) ou encore qu'elles ne quittent leur poste pour un congé maternité. Pour Olivier de Lavalette, Directeur Europe du Sud Régus, " Il n'est pas étonnant de constater que de vieux préjugés refont surface dans un contexte d'austérité. "
- Malgré cette frilosité à embaucher les mères de famille, lorsqu'elles le font, les entreprises ont une bonne image d'elles, notamment en France, où elles sont 74% à avoir une opinion favorable à l'égard des mères de famille qui reprennent le travail, précisant que le fait de les ignorer équivaut à exclure des employés aux compétences recherchées.
Stéphanie Letellier
* Régus est le premier fournisseur mondial des solutions d'espaces de travail.